Joueurs pour le mercato??

d'après el heddaf 3 joueurs seront à annaba pour des tests ( 2 de france et 1 de luxembourg)
d'après nos sources il s'agit peut etre de :

Fayçel Nini 23 ans Millieu de terrain offensif : qui joue cette saison au Chypre apres avoir passer sur l'equipe reserve (CFA) de LOSC .

Menai hakim 23ans Attanquant ancien joueur de l'équipe de Lorraine , Club actuel Club Sportif Orne 1916 Amneville CSOA Amneville (CFA).

Amnéville est située dans l’est de la France, entre Metz et Thionville (axe Nancy, Metz, Luxembourg).

Interview : A la découverte de Fayçal Nini (LOSC)

Bonjour Faycal, peux-tu te présenter aux lecteurs de DZfoot.com, parle-nous brièvement de ton parcours?

Bonjour à tous, je m'appelle Fayçal Nini, je suis né le 10 août 1986 à Armentières, dans le nord de la France. Je joue au LOSC, depuis deux saisons, au poste de milieu offensif. Je suis entré en centre de formation a l'age de 15 ans, dans le sud de la France à Montpellier puis à Valence. J'ai signé au LOSC il y a deux saisons maintenant en réserve (CFA). J'ai intégré le groupe professionnel en début de saison.

Tu évolues à quel poste exactement? Quels sont tes qualités et tes défauts?

Mon poste est milieu de terrain offensif, dans l'axe ou sur les côté mais je peux aussi jouer attaquant de pointe. Mes qualités sont la technique, la vivacité, j'aime aller percuter avec le ballon et la vitesse. Mon défaut serait plus le jeu de tête.

Quelles sont tes ambitions pour l'avenir?

Mes ambitions sont de jouer dans un bon club et de gagner des titres.

Malgre tes bonnes prestations avec l'equipe réserve, tu n'as pas encore signé un contrat pro. Tu as 22 ans, tu comptes rester a LOSC ou as-tu des contacts avec d'autres clubs ?

Oui, c'est vrai que j'ai fait de bon matches, cette année, avec le LOSC, mais je suis en fin de contrat et je compte partir en fin de saison. J'ai quelques contacts mais rien de concret pour l'instant. J'essaye de bien finir ma saison avec encore d'autres buts pour pouvoir être convoité encore plus.

Il ya pas mal d'Algériens dans ton club, à l'image de Badis Lebbihi, Omar Benzerga et Youssef Sofiane, lequel t'impressiones le plus?

Oui, c'est vrai que nous sommes pas mal d'Algériens dans l'équipe. Les trois jouent à des postes différents mais ce sont de très bons joueurs. Badis est un grand défenseur qui gagne beaucoup de duels derrière. Omar est milieu défensif très technique et Youssef est attaquant, c'est un buteur.

Tu es originaire de quelle région en Algérie? Tu supportes un club particulier en Algérie?

Je suis originaire de Oran et j'ai ma famille qui habite encore là-bas. Je ne supporte personne en particulier, je suis simplement le cours du championnat de temps en temps.

Est-ce que tu suis l'Equipe Nationale d'Algérie?

Oui je suis le parcours de l'Equipe Nationale, surtout durant les qualifications. Malgré le fait d'avoir été en equipe de France en jeune, ça ne me déplairait pas d'aller en séléction Algérienne. Je serais fier de porter le maillot de mon pays, l'Algérie.

Un dernier mot pour les lecteurs ?

Pour ceux qui ne me connaissent pas, tapez sur Dailymotion Nini Fayçal. Continuez à visiter le site DZfoot.com, pour suivre tous les news du foot Algérien.

Walid Z.
DZfoot.com

Fayçal Nini où les rêves tourmentés de devenir un jour footballeur pro



samedi 18.07.2009, 04:50 - La Voix du Nord Fayçal Nini, son destin de footballeur ne se joue plus à Lille...

| RENCONTRE |



Comme des milliers de jeunes gens, il rêve depuis l'enfance de devenir footballeur professionnel. À 22 ans, il a tutoyé ce graal de très près. Après trois saisons avec l'équipe de CFA du LOSC, Fayçal Nini, un Ch'ti pur sucre né à Armentières et qui vit à Lille, est à la recherche d'un nouveau club pour enfin parapher un contrat pro. Rencontre.

PAR FRÉDÉRICK LECLUYSE
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lille@lavoixdunord.fr PHOTO MAX ROSEREAU
« J'ai toujours su que c'était super dur, mais j'y crois encore. » Le verbe est sûr et une étincelle brille dans ses yeux. Depuis tout petit, Fayçal est convaincu qu'il y arrivera. Pourtant, aujourd'hui, il est à la croisée des chemins. En fin de contrat au LOSC, le jeune homme a compris qu'il était temps de prendre le bâton de pèlerin du football moderne ; « un véritable chemin de croix », résume Pascal Plancque, son entraîneur en CFA (lire ci-dessous). Fayçal y a cru. « J'étais sur la liste de Claude Puel, mais... » Excepté quelques matches amicaux, il n'a fait aucune apparition en Ligue 1. C'est au LOSC que Fayçal signe sa première licence, en catégorie débutant. Les hasards de la vie le conduisent à Montpellier où il intègre le centre de formation du club héraultais. Il a 15 ans. « C'est là que tout a commencé. À chaque entraînement, on nous mettait la pression, c'étaient des mises en garde permanentes, du genre "vous êtes trente, trois seulement seront pro"... » Alors, il bosse. À 17 ans, il est prêté au Valence FC, à l'époque en Ligue 2. « Ça allait bien pour moi, j'étais surclassé et je jouais régulièrement avec la réserve, en CFA. » Son coach est alors Éric Assadourian, l'ancien ailier du LOSC et chouchou de Grimonprez-Jooris. L'année suivante, alors qu'il doit en théorie passer professionnel à son retour à Montpellier, une vilaine catastrophe perturbe son destin. Double fracture tibia péroné. « J'ai été victime d'un tacle assassin, par-derrière, un attentat. » Une saison de galère. Il reste à Valence, sans jouer. « J'ai eu l'impression d'être stoppé net en plein élan, j'y étais presque.
» La saison suivante, pourtant, il intègre le groupe professionnel. Il fait une bonne saison. Mais les comptes de Valence sont plombés. Redressement judiciaire et rétrogradation en National. La tuile. « On était en septembre et j'étais sans club. » Le destin se rappelle à lui. Le LOSC l'accueille à nouveau. Un retour aux sources, hélas, sans lendemain chantant.
Aujourd'hui, Fayçal Nini a pris un agent. L'ex-Lillois Dagui Bakari s'occupe de son avenir. « Il m'a dit d'être confiant, ça va venir », dit-il en regardant son Iphone. La semaine dernière, il a fait un essai à Wolfsburg, le champion d'Allemagne. « Ça s'est bien passé, j'attends que ça sonne. » Il ne fera pas la fine bouche. La Belgique l'attire. L'Angleterre aussi. « Je ne m'inquiète pas, j'ai toujours été débrouillard dans la vie ; je sais que c'est difficile, mais l'important, c'est que je rêve encore », conclut-il avant d'aller rejoindre son grand pote, Eden Hazard, la pépite losciste. •

http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Lille/actualite/Secteur_Lille/2009/07/18/article_faycal-nini-ou-les-reves-tourmentes-de-d.shtml

cfa
Menaï : « J’ai l’impression d’être là depuis trois ans »







Débuts réussis pour Amnéville et pour Hakim Menaï, passé de DH en CFA. « Cette victoire, avec la manière, a permis de nous rassurer ». Photo Karim SIARI






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S’il avait un peu moins ouvert son pied, sur une occasion en or au cœur d’une deuxième mi-temps à l’avantage d’Amnéville, Hakim Menaï figurerait déjà au classement des buteurs du CFA, qu’il découvre à peine. Le seul acte manqué de l’attaquant de vingt-trois ans, samedi, lors de la victoire inaugurale de sa nouvelle équipe, face aux Vosgiens de Raon-l’Etape (2-0). Venu en voisin de Thionville, à l’intersaison, cet assistant d’éducation au collège d’Uckange a réussi ses débuts au quatrième niveau de la hiérarchie, à l’image du promu mosellan. Il y revient avec gourmandise.

• Amnéville vient de disputer son premier match de CFA : comment l’abordiez-vous, personnellement ? « Avec beaucoup d’excitation, à l’idée de découvrir un niveau auquel je n’avais encore jamais goûté. Je n’étais pas le seul. Nous étions tous motivés à cent pour cent. C’était très palpable avant le match, dans le vestiaire, à l’échauffement. N’importe qui venant de l’extérieur l’aurait remarqué. »

• Et que retenez-vous de cette prestation ? « J’avais l’impression que nous étions dominateurs, même si Yannick Suzanne ( le gardien amnévillois) nous a évité d’être surpris sur un contre, en première mi-temps. Nous avons maîtrisé la deuxième période, à onze contre dix, sans se précipiter. Mais, sur le terrain, j’avais le sentiment que nous allions marquer. Il a juste fallu faire preuve de patience. »

• Après le match, dans le vestiaire, on se serait plutôt cru en fin de saison. Que traduisait cette joie immense ? Le soulagement d’être à la hauteur ? « Je me suis exactement dit la même chose : j’avais l’impression de fêter un titre, une montée, un maintien… Nous ne nous le sommes pas dit mais, dans nos têtes, il y avait une petite part de doute. On ne savait pas trop où l’on mettait les pieds. Cette victoire, avec la manière, a donc permis de nous rassurer. »

• Vous compris ? « Je pense avoir réussi un match correct. Des gens m’ont même fait part de leur étonnement, vu qu’il s’agissait de ma première apparition à ce niveau. Samedi soir, après le match, j’ai reçu beaucoup de messages de félicitations. C’est plaisant, mais je prends surtout ça comme un encouragement. »

« Je n’ai pas hésité »

• La concurrence va maintenant s’accroître pour vous : samedi, Marques était blessé, Bourgeois pas encore qualifié… Craignez-vous de peu jouer ? « Non. C’est comme ça que nous avancerons. Les autres attaquants, Marques, Sahin, je m’entends vraiment bien avec. J’ai un peu connu la même situation à Thionville, avec Nicolas Romero. Quand il marquait, j’étais aussi heureux que si c’était moi. Cette concurrence est saine et nécessaire Et puis, avec trente-quatre matches, les occasions de jouer ne manqueront pas. Cela fait partie du défi que je me suis lancé. Quand j’ai signé, je savais que les attaquants en place restaient. Cela a d’ailleurs suscité pas mal de scepticisme, ce qui me donne d’ailleurs encore plus l’envie de réussir ! »

• Vous venez en quelque sorte de sauter une classe, en passant de la Division d’honneur au CFA, malgré l’accession de Thionville en CFA2. Est-ce une preuve d’ambition ? « Oui. Par le passé, j’avais déjà reçu des propositions de club de CFA2, mais j’ai toujours préféré rester à Thionville. Le CFA, c’est autre chose. C’est plus difficile à refuser, les dirigeants thionvillois l’ont bien compris. Le niveau n’est pas le même, avec des réserves professionnelles, et l’exposition est plus importante : à vrai dire, quand Amnéville m’a contacté, je n’ai pas hésité. »

• Nouveau club, nouveaux partenaires, nouvel entraîneur, nouveau championnat… Comment s’est passée votre intégration à Amnéville ? « Je ne sais même pas si l’on peut parler d’intégration. C’est comme si j’étais déjà là avant. Quand on change de club, on peut parfois se sentir perdu. Je n’ai jamais eu ce sentiment. Je ne pourrais pas l’expliquer : ça vient des gens en place, l’ambiance, le groupe… Le stage de préparation a aussi été important. En fait, j’ai l’impression d’être là depuis trois ans ! »

Sylvain VILLAUME.

Publié le 10/08/2009

Champion de Lorraine, Thionville renoue avec le niveau national après une longue absence. « Nous ne pourrons plus nous permettre le moindre relâchement », prévient Eric Brusco. Ph. Pierre HECKLER



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Un saut dans l’inconnu
En retrouvant le championnat de France et, avec le CFA2, la cinquième division dans la hiérarchie nationale, Thionville met fin à une incongruité : celle qui vient de voir une ville de plus de 40000 habitants et un club ayant fréquenté la Ligue 2, au virage des années 70 et 80, passer neuf saisons de suite au niveau régional. « En dix ans, le football a progressé, les règlements ont changé, l’organisation aussi : pour nous, il s’agit vraiment d’une découverte », affirme Eric Brusco. Entraîneur de Thionville depuis 2008, il refuse de s’effrayer devant le grand saut dans l’inconnu que représente cette montée : « Me concernant, ce n’est pas de la peur, plutôt un bon stress. C’est un championnat intéressant, qui élargit notre horizon, qui change de la routine de la DH. La saison dernière, notre plus long déplacement durait 1 h 30. Cette fois, c’est 5 h ! Cela bouleverse les habitudes, mais c’est aussi un attrait nouveau. »Réussir la transition
De la Division d’honneur au CFA2, « le fossé est grand », reconnaît Eric Brusco, instruit de l’aller-retour express du voisin algrangeois, la saison passée, dernier exemple en date. « Avec trois réserves professionnelles dans le groupe, nous risquons de rencontrer des joueurs ayant évolué au plus haut niveau. Il y a également des habitués, comme Illzach ou Pontarlier. Nous entrons dans un monde presque professionnel. » Comment réussir la transition entre deux catégories si différentes ? « Comme je le répète aux joueurs, nous ne pourrons plus nous permettre le moindre relâchement, répond Eric Brusco. L’erreur qui se rattrapait en DH ne se rattrapera plus en CFA2. Il en résulte une exigence plus élevée au niveau de la rigueur collective, de la discipline dans notre jeu et dans la vie de groupe. Nous ne sommes plus dans notre petit jardin. »Un groupe étoffé mais affaibli ?
A l’intersaison, Thionville a perdu deux des artisans du titre de champion de Lorraine : Abello, son gardien, et Menaï, l’un de ses buteurs, sont partis à Amnéville. Le jeune Schaab gardera les buts, et Soltani arrive de Neuves-Maisons, l’autre promu lorrain du CFA2, pour en marquer. « Je ne vais pas comparer des joueurs différents, explique Eric Brusco. Abello et Schaab ont dix ans d’écart, mais j’ai confiance dans les qualités du nouveau, qu’il développera en travaillant. Avec Hakim, nous perdons un attaquant efficace, et un garçon apprécié. Nous avons compensé les départs, en veillant à préserver les qualités humaines du groupe. Si notre potentiel n’est pas plus élevé en qualité, en revanche l’effectif a été étoffé. »
En défense, Thionville vient déjà de perdre Telsch, gravement blessé au genou en match de préparation. Les Mosellans doivent déjà composer, demain, pour la venue de l’équipe 3 d’Auxerre. « Les deux ou trois premiers matches conditionnent souvent la suite, mais c’est vrai à n’importe quel niveau, estime Eric Brusco. L’an passé, nous les avions tous gagnés. Mentalement, nous sommes prêts : enthousiastes à l’idée de découvrir le niveau supérieur. »Sylvain VILLAUME.



Publié le 14/08/2009

inchalah ykouno mlah wyfarhouna ya rabi

ya louled jiboulna douadi te3 lakhroub par ce aw grand w mazel matfellegche barke et a annaba tous les jouer te3 lekhroub salhou sa soit remeche wela benchergui w zid lequipe lazemha wahed 10 techqunisien kifou w koulkoum chouftou l but li markeh 3la USMAn fi lekhroub

inchalah ykouno mlah